OMVAS Le Journal, N 9 - page 1

L E J O U R N A L
N° 09 - aôut 2014
NOUVEAUX
JALONS
D
epuis avril 2013, soit 16 mois après la
Confé
r
ence des Chefs
d
’Etat et de Gou-
ver
n
ement de Nouakchott, notre nou-
v
elle équipe qui
p
réside aux destin
é
es de
cette merveilleuse Organisation, l’
O
mvs,
ouvre de nouveaux chantiers pour «faire
plus et mieux» dans le seul souci d’aboutir au mieux être
des va
i
llantes populati
o
ns du b
a
ssin. La méthode fondée
sur
l
’initiati
v
e et le d
y
namisme a donné des résultats pro-
ba
n
ts qui, n
o
us l’espérons, iront crescendo.
L
e dével
o
ppemen
t
local d
o
nt le socle de la
m
ise en œuvre
pratiq
u
e a été
l
e Programme de Gestion Intégrée des Res-
sourc
e
s en Ea
u
(Pgire
1
) sera, d
a
ns sa seconde phase que
n
ous
entamo
n
s, plus
intense, plu
s
vaste et plus p
o
rteur
d’
i
mp
a
cts
p
osi
t
ifs
dans un
«bassin élargi et diversifié».
Par Kabiné KOMARA
Haut Commissaire de l’OMVS
Editorial
Plus i
n
tense parce que les moyens mobilisés ont plus que
doublé entrainant de fait plus qu’un doublement des acti-
v
ités. De Cent Onze Millions de Dollars US (111 millions
de dollars US) pour le financement des activités de la pre-
mière phase, l’enveloppe prévue pour la seconde phase
se chiffre à Deux Cent Quarante Cinq Millions de Dollars.
Et,
fait nouveau, les actions de développement agri
c
ole
vont pour la première fois dépasser
l
es limites du bassin
versant du fleuve Sénégal. Le projet a aussi diversi
f
ié son
champ d’inter
v
ention en abordant de nouvelles questions
comme la résilience aux changements climatiques.
Cette forte augmentation de l’enveloppe du projet tient
avant tout à la très bonne préparation du pr
o
jet avec des
indicateurs de performance bien définis et des objectifs de
développ
e
ment précis. Le succès de la première phase et
la bonne préparation de la phase actuelle ont fait que le
projet soit primé par la Banque Mondiale. C’est pour moi
l’occasion de féliciter toutes les équipes du système Omvs,
les partenaires de nos Etats membre et l’équipe de projet
de la Banque mondiale pour avoir encore r
e
haussé l’image
de l’O
m
vs et son rôle de pio
n
nier parmi
l
es Orga
n
ismes
de bassin.
Le secteur agricole a reçu un autre appui conséquent à tra-
vers le financement d’une parti
e
des travaux de réhabilita-
tion du barrage de Diama. Notre détermination à accélérer
le développement agricole s’est traduite par de nom-
breuses rencontres avec des
p
artenaires dans le seul but
de mobiliser les financements requis pour le Plan d’Action
pour l’Amélioration des Cultures irriguées (Paraci).
Soucieux de faire profiter à notre espace sous régional des
importantes potentialités minières, des atouts certains du
secteur agricole et des immenses possibilités d’échanges
de biens, nous avons fait le pari de donner un nouvel élan
au Système intégré de Transport multimodal (Sitram).
L’épine dorsale de ce système reste le volet navigation sur
le fleuve Sénégal. Le travail d’information mené par le
Haut Commissariat et la direction de la Sogenav auprès
des partenaires au dévelop
p
ement a permis de convaincre
ces derniers de l’originalité et du caract
è
re inté
g
rateur de
ce volet. Ils manifestent désormais leur ferme volonté de
le financer. C’est encore pour moi l’occasion de féliciter
et encourager le D
i
recteur général de la Sog
e
nav pour la
pertinence des dossiers soumis aux différents partenaires.
Suite à la page 3
pgire 2,
c’est parti
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Toujours plus, encore mieux
En attendant
le sitram
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