Dossier presse : Pose de la première pierre du Barrage de Félou, Kayes. le 30 Octobre 2009

, r .. }),1 dAenouvèau LUTTE CONTRE LE TRAFIC FRONTA– LIER DES ENFANTS Des recommandar onsadoptées' Le Mali et la Côte d'Ivoire ont convenu à la suite d'un atelier, d'un certain nombre de recommandations pour faire face à la problématique de l'exp loitation des enfants au niveau de leurs frontières respectives. . PRÉSERVATI ON DE L'ENVIRONNEMENT DU BASSI N DU FLEUVE SÉNÉGAL Lancementdes travaux de restauration des berges En procédan t le 30 octobre dernier à la pose de la premi ère pierre du bar– rage de Félo u, les plus hautes autorités de l'OMVS ont pr ofité de la même journée pour lancer les travaux de restauration des berges du fleuve Sé– négal. Par B.B.Cissé teur. Alfouseny Sidibé, re– présentant du Minist re de la communication, estime que l'IGIAM forme de bon produits, cela ' depuis, quelques années et que'le Président de l'Amicale en est une illustration parfaite. Makan Koné, Président de la Maison de la Presse a félicité la direction de L'IGLAM pour sa partition quant à la professicnnall– sation de la presse m'a– lienne. « Nous allons venir trés prochai nement vers l'IGLAM pour créer èven– tuellement un cadre de partenariat », a laissé en– tendre le locataire de ' la Maison de la presse . 1 De sa créati on en 2000 à nos jours, l'IGLAM a formé plus de mille étudiants en Cornrnunicatio n journa– lisme. fleuve et de ses affluents. Pour ce faire, le long de la rive gauche du fleuve Sê– négal, 600 métres linéaires vont être traités contre l'érosion, il Iravers les tra– vaux de restauration. Ces travaux, locali sès entre le pont et la prise d'eau brute de la station de potabilisa– tien. sont r épartis sur trois zones prioritaires : près du pont, le long des berge s dans le quartier du Khasso et prés de la centrale EDM. Ainsi , la protection des berges entre le pont et la centrale combinera plu– sieurs actio ns, parmi les– quelles la réalisation d'un mur de soutènement, la ré– habilitation du mur existant et l'aménagem ent de ponts de passage et d'acc ès aux berge s, la réalisat ion d'un remblai compacté entre le mur et les berges ainsi que la collecte el la mise en dépôt des ordures et dé– blais non réalisés. Ben Dao ciens Etudiants en Com– munication Journalism e de l'IGLAM, a tenu à rappeler que l'association qu'il dirige est avant tout apolitique et regroupe en son sein une centa ine de diplômés, soit cinq promotions différentes et que même si quelques– uns chôment encore , une bon ne partie est opé ration– nelle dans les différents or– ganes de presse (privés et publics), dans les agences de communication , dans les institutions bancaires et autres organismes interna– tionaux .Ouant aux cama– rades affectés par le syndrome du sous-emploi, le premier responsable de l'AAECJ-IGLAM a sollicité le concours du Ministre de la Communication. « Nous avons une série d'activités dont l'organisation des cour s gratuits aux étu– dian ts en journ alisme. des con férence s, ateliers, des baptêmes de promotions et autres ». a annoncé l'ora- Mauritanie et en Répu– blique du Sénégal , pour la lutte intens ive contre les plantes aquatiques nuisi– bles. Faut-il rappeler que dans le souci de veiller il la sauvegarde de l'environne– ment et des aménage– ments réalisés dans le bassin du fleuve Sénégal, l'OMVS a initié un volet in– titulé « Gestion intégrée des ressources en eau et lutte contre la dégradation des sols » grâce l'appu i technique et financi er du Royaume des Pays Bas. La formulation de ce volet fait suite au constat alar– mant de l'érosion impor– tante des berges du fleuve Sénégal et des sols dans le Haut Bassin, tout particulié– rement dans la région de Kayes au Mali. A noter que l'érosion des berges pro– voq ue une sédimentation (envasement du lit du fleuve par des matières 50· Iides en suspension) qui perturbe le régim e du P our donner plus d:éclats à la cérémo– nie consacree au lancement, les organ isa– teurs ont initié une confé – rence-d ébats sur le thême « Quel plan leadersbip pour la Communication en Afrique » qui a été animée avec brio par notre confr ère Tl èqourn Boubéye Maïga. C'éta it le week-end dernier dans l'amphithéâtre de L'IGLAM il Baco-Djico– roni. Elle a enregistré, en plus des anciens et des nouveaux étudiants, le corps professoral, le Pr ési– dent-Directeur Général et un grand nombre d'invités de marque dont le Prési– dent de la Maison de ia Presse du Mali, Mankan Koné, le représentan t du Ministre de la Communica– tion et des Nouvelles Tech– nologies Alfous ény Sidibé et d'autr es invités. Dans son discours d'ouverture, Sidiki y Dembélé, le prési– dent de L'Amicale des An- IGLAM l'AAECJ voit le jour Raffermir les liens d'amitié entre les différents membres, promouvoir l'image de l'Institut de Gestion ct des Langues Appliquées aux Métiers (IGLAM) à tra vers un programme d'activités aussi riche que varié , tel/es sont entre autres les missions fondamentales d'une association pas comme les autres: l'Amicale des Anciens Etudiants en Communicatio n Journalisme de L'IGLAM qui a été mise sur les fonts baptismaux le sa– meaïaemter. L 'Organisation pour la . Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS) , sous l'impulsion de la conférence des chefs d'Etat, s'est engagé e à in– tensifier la mise en oeuvre des projets de préservation de l'environn ement du bas– sin du fleuve Sénégal. Les . travaux de restauration des berges du fleuve sénegai il Kayes s'inscrit donc en droite ligne de cet engage– ment. Ils porteront sur une longueur de 2973 mètres pour un coût de réalisation évalué à 3 milliards de FCFA. La restauration s'étendra de Kayes à Ba– foulabé dans un second temps. Il faut ajouter égaie– ment que ces travau x de protection et de préserva– tion de l'environnement du fleuve Sénégal concerne– ront aussi les berges du Bafing en Républi que de Guinée ainsi que la basse vallée du fleuve Sénégal en République Islamique de Oumar Camara, st agiaire de 2 millions de franc CFA. Puis, un jour, pour se débar– rasser d'Aminata, il lui remet un morceau de papier à join– dre au Passeport, en lui fai– sant croire que c'était le visa de son fils . Mais des pero sonnes de-bonne volonté rê– vêleront à Aminata que le visa n'est qu'un cachet et que Ladji Camara est un escroc. D'aprés la victime , elle aurait deux lieutenants de Camp Para sont à la recherche du band it présumé. Mais, dit– elle, Ladji Camara reste in– trouvable : il aurait même abandonné son domicile. Elle lance donc un appel : qui– conque aurait aperçu M, Ladji Camara est prié d'alerter le commissariat le plus proche, car cet individu est un danger pour la population, Ben Dao et de ses protocoles et l'éla– boration d'un loi spécifique sur la traite des enfants; in– tégrer des modules sur la si· tuation des enfants en généra l et ceux victimes de traite en particulier dans les enquêtes nationales ; harmo– niser les procédur es de prise en charge des enfant vic– times de traite (rapatriement, réinsertion) du type PAO ; gé– néraliser le titre de voyag e pour enfants entre les deux pays aux fins de faciliter le contrôle aux frontières ; ren– forcer les capacités des ac– teurs( magistrats, auxiliaires de justice, travailleurs so– ciaux, forces de défense et de sècurité) ; créer un sys– tème d'alerte à traver s l'ins– taura tion d'un numéro vert ; prendre en compte dans les programmes de réduction de la pauvreté les questions de protection des enfants etc. Il a été décidé au cours de la rencontre de tenir la qua– triéme réunion de la CPS en 2010 en République de Côte d'Ivoire. Il faut également pré– ciser que le présent atelier a eu lieu du 27 au 29 octobre au Centre Aoua Keita . 1 constaté que des progrès si– gnificatifs ont été réalisés, mais que des défis demeu– rent. Les participants ont re– commandé de : renforcer le dispos itif (infrastructures, moyens logistiq ues, finan – ciers et humains) de protec– tion des enfants en particulier ceux victimes de traite ; ren– forcer les ressources finan– cières allouées aux départements en charge de la prote ction de l'enfance ; renforcer le dispositif juri– dique notamment par la ratifi– cation de la convention des Nations Unies sur la crimin a– lité transnationa le organisé e .itoJ .~ l · ",,' ~ 1':. l ' - ....,.":.. .' Mme Maiga Slna ·D.amba..mlnlstre de la promotio n de la ~.~. . femme de l'enfant et d ela famille ~', L B cérémon ie d'ouver– ture de cet atelier qui a enreg istré la présence de plusieurs participant s, a été ' co-pr ésld ée par Mme Sina Oarnba, ministre de la promotion de la femme , de l'enfant et de la famille, et Mme Jeanne Peuhmond, ml– rustre de la famille, de la femme et des affaires so– ciales de la Côte d'Ivoire, Aprés trois jours d'échanges entre participants maliens et ivoiriens sur la question de l'exploitation des enfants, les trav aux ont été sanctionnés par un certain nombre de re– commandations.Ainsi, il a été LAFIABOUGOU FROU-FROU CARRE En i , qu~te q.e visa, elle sel fait escroquer 2 million~ de francs Mme Doumbia Amlnata Camara voulant erivoyer son fils Adama Doumbia en Guinée Equatorlale, :s 'es t'fait fa/fcher par ùn soi-disant résident malien au Gabon, M. Ladjl Camara, un grand bandit domicilié à Lafiabougou Frou-trou carré, selon les populations dudit quartier. L ' e Mali est un 'pays ou de dire que chaqu e chose a . plus de 70% dë la popu- ' sa fin ? i latlon sont pauvres, Ce Amlnata Camara, vendeuse qui encourage "Immigration d'ignames au marché de La– (des jeunes surtou t) vers fiabougou est soucieuse du l'Occident, et le banditisme à sort de son enfant Adama l'intérieur du pays, Ladji Ca- Doumbia au chômage. b ans mara, résidant à Lafiabougou ce pays où l'accês aux em- Frou-frou-carré, qui se dit Ma· plois repose sur les relations, lien rêsidant au Gabon, pro- Mme Doumbia Amin ata Ca- file de cette situation soutirer mara décida d'envoyer son des somme s colossales aux enfant en Guinée Equatori ale candidats à l'émigration vers par l'intermédiaire de M. Ladji toutes les destin ations : Camara, qu'elle connaissait à Afrique, Europe et l'Amérique peine. Conscient de l'anal - en leur promettant l'obtention phabétisme de Aminata , Ladji . du visa, que les malheu- l'aurait rassurée sur l'effi ca– reuses victimes attendaient cité de son business.Aminata en vain. En cas de plainte de décida de lui confier le cas de celles-ci, il les menaçait, car son enfant. Pour ce faire, il semble ,que l'escroc soit pour un premier versement, soutenu par certains policiers Ladji demanda à Aminata la avec qui il tisse de bonnes re- somme de 300 000 francs. Et lations ainsi que par de depuis , le grand escroc a pris grands féticheurs qui le pro- régulièrement de l'argent à la tége nt. N'a-ton Plls l'habitude pauvre mére, jusqu'à hauteur t' 1 N"735 du Mardi 03 Novembre 2009 Quotidien d'inform ations générales

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