Article de presse relatif au 6eme sommet de l'OMVS et à la pose de la première pierre du barrage de Diama, Saint - Louis 12 Décembre 1979

i ;1 t2 ':- '?~,--.---------- '1" J-I)jama et Manantali: 12 barrages au désert '1 A r~~:II"::~~~'e~;;'Ie;~: :nc!:~:;'Ia;: ~:~~.::~: ::!n::~':t~:~=.~=.~.I~.·':g~1 .1 nene. le fleuve Sen6gll l. Ifest "l'ouI 1TIII)eO' d'un ~""oppem.nlln- cM ciment. dl ma téri.u. diwrs d. lCW"Igde 1.700kiIOtnetresde $a $Ource a Oustri., pour le SMtg.r OIie nlal e1 conl1ruction.demltéri~d.pomp"9' son embQud!u"" dl ro ee eeAUanu_ pour rOUH' malilrn. Les bas•• de la' d"flqu lpam anlst ht eliarsCrenlra'i"" " qua. L"hlitoira de 'a pênétr.lion cote- coop6rllion .ontdonc ,•. bien COnCf& de f.~... tjon. etc. .. niM est tout "Ilurellemeol ""... ln . ...,tab•• dm.." de •.~ilJ6. A ca premllll' nOYMl d1nc:lus1ril'$ _n.U"lqu.otOi.nalurelllode~r. promotionMl1es. ,'.-joula ,ont danl tiondoerNriq...ap.,laC :O •• ooeldtofl'-la Il"' sec:oodeph.M, d •• 'abnquesClI ~ Nord du s.nôn. mllk>el agrlc:ollo et Oe$ -wr0- Le ~.I. ",1'1fleuve 1 Non. Ii l'Of! Q"ulnze ans d'études industrIes.. Les induslnu lou,des ln- M~""_.cesfletJ,,"lT\IIjIJ ••ueo •. (W- t_iendrontdanslldemilr.phls. IiIU~I-I."IlI:lei l'Amuone. ICI clans le S . après une camplgn* int.nsiv. et ays- h:ei.vated"eal.Jefleu"",n·nfplusl lémltlqued'éludes pour !eur,ealiss- certain. moments. qU'une m od8$ 1 1 It n - Lu principe$ po"" I. s objectifs tlon dans des délais raisonnables. vil •• qu'on traverN! en c;.ttaln •• '1- doeui•••. Jeplusgro'rest.àf.r •. dé- o.miervolelles trln3oPO r1a.Lesrll- <lroîts.• MC. End'autrqmom •••ts, par letmlner ••• moyens' rnettnI en OIIU- glonsOl'ient.18s du So!nt g.hont l seo root •••.il n'a ri•.••• nvi••.au,..aul.. .. vr•.••• tr.l6gie •• dOP••rpou.p.,...en lr km de •• m••.. c;.rtaine s r6g~ de la Au, capric.es de c. c;ours (1•••. est • cen. lin si MU. , al diflérente 6e la Mauritanie .• plus de 1.000 km e' le ha •• :1~$:mOU qu.a,! des popu,*tiOni rull" prhe,,!e ..qu·on 1 éu :!'al Ii u M~Ji.~~;~$ill's!;tto-••" ~I:I''ls~&pl •.•s oeSliolset"tsquIIOlogne.L· •• I-it-cite ~e:-S~~oj~r <lue ';'es! ~et! ~se~ el i1r:::":~t••••UI , ••:••~.:. i.s.:N 1.11,cia 2mlnlonsdllpllrv>nnesrflp.rttessur pzs8flcenl.ns.l t •• mlta.rr ,QInsque 10UIperi mlrollme. Le. "c,illas o. e JOO.OOOkm2 du bessln. L·"" •••d", ciel le lemp, (l'une liI~rellon. Ce sonl trlnaper. qu·off.i•• Il vole d'elu torr,blnt~ meln. ',1 moin•.en agri_ ~o_n_c_ .~~é_tude_s~~_e fl~t.i~ilité,Com- rao.ll ~nurn l nOI.lOleOit.COOlS.S. .::". - Nul doute que dan~ la mémoire collec'i~ des peuples malien. mavritan;en et s'f!fgalais. cette date du 12 dfl- cemOre 1979 sera de celles qv'on oublie dmicileffJfffit. Da la 'l'f)/onté de lrois chels d'Etat. cetla premiér. pierre du Oa'- ,age de Oiama est la p'em~re illustratiOn. Us eurrH ne ta,- - daronr pas , suivre. Les IflVaVIl d4l D,ama commenceront ",aisemO/aDlem fl(lt "és le prem,er semestre de rannNpro- c,!ame e Ma"lfIIlli, •••• rs la fin de cette a""" 1980 . Flce .• rlmpof1ance dH sommes mk;essif'es par l'ou- vrage. aUIl limites (llJtur./les de/oute union cfE/et aUIl Inl4- rëts, au. pr~ccu ~lions, au. maniéfft de lai,., diff'rems, au scept,cisme des oail/evrs de loncJ:sel "a r.laliwt indiffé- ,ence des populatio"s qui, b;en naturellement, n·adh.rent qve quand /es cI'Io$es se concrétisent véritablement, roMVS. do"c gag"'t un pari. Un 9rand pafi. Cetuid'i,,/I4Chif le cours d'uQ destin qui voue if.t la malnutrition. '.ri~u- rilé, A l'autarcie, au. rigueurs du désert:quelque deu. mil- "ons de personnes. C'est un non fe/entiSSlJn/ opposé au désert. C'est un peu la re ••••nche de rHomme sur 'a natu,., Domp- tée .• ,Ie 'la urvir son bien"t,. plutôt que d"tre sa porte. Mais le pari gagné da rDMVS, c'at sans doute, aussi un •• emple de coopération. De trois Etats qui ont su taire leurs différences el de onze bailleu(3 de IOfllb qui ont accepté d·unir leurs efforts. C'esrenli" 1.1" eremple, une nouvel/e approche des pro- b~mes du développement qui eSI offert au. autres pays du Tiers-Monde .• quelques variantes prés. IJUIf: mémes contrllin tes. au. I7lI!mes dlttîcu" •. Mamadou Amadou AW Haut Comm is· saire SO ~.IIOI,. ""mert s-..•. m••ss ·ftfl l/.mm ant~ lor'Ql lï/•• ,qll."io" d. rOrg~l •• tiO,.pour le M'u en Valeur dU Fleuve S•••~./. Am.6cw A••••1. havl-r.(lmmisuire de rc-svs qu i me reçoit le jour mfme ce .Ott 1Sémp .nr.,,,.rSllifOestC'rT.ain~'."""leplusen;1.rHd,Hrms$Urcrunç;m;el,uou.';11 "t't~. tor 'ii. c.! infl#n;'u, m.:,', .. i:';w,/eur <;les i,..".J{ pO/;>IIc.s. m.is qui 'Ufl PiI!s6 ~~'!..s .s~.~"i*,e plI'." '-;91""'.P" .~ ~~_n~CI_~~~~:~. .~~_~_~:';~~."-: Un cocktail de bailleurs Comple tenu. tant des moyens rècuus des Elat!. ImpliQuH que des londs importants nécessités par le proter. le t-oancement du programme de rOMVS ne poINait se laireQue par rappela raide ex- tériecre. Que ce soit des suwen- lions non reeecurseotes pcurtoo- les les études par exemple. c'est-a-œre 45 mIllions de dollars améric •. in~, 5:::11 .m.·iron 10 mif- Uards de frs CFA, ou alors des prêts aux ccnnülcns de raide eu développement. L',mp-ortance des sommes necessaires aux Iravaux d'infraslructure de base .g~ravé par ~a réticence ces sources de fi- nancement a ac!hèrer pleinement à besoins an financement pour les deux barrages .'élèvent /1600 mil- lions de dollars, Timide~ au départ du fait du manque d'enthous,asme des bail- leurs de tonds pour lesgrands pro- Jets. les participations se sont ac- célérées •. partir du voyage , .n mars 1978, commun des trois chefs d'Etat, sillonn.nt le monde. convainquant les sceptiQues, en-- courageant les timides. La tee- dance née :::e ce voyage ne s'est par la suite jamais démentie L'OMVS apu." ce jour. rassembler 500 milliuns de dollars. en,mon 110 miliards de trs CFA, par 185 r.ontri!)utron~ ee onze sourcIlS de !.~;:.:;..::;.~;:-.t. ::';':'~3 .~~ ·r,, " •• ••,:.- présente sr,.. das besoins de t,_ nencernem ne tient compte qve ~~:..!~2:.ge~~!n:~ ..:;:fr:.:~._~ ma,~ oe cevescopement, l. eeau- coup o/ffere la mobilisa:lon des fo~ds.