Articles de presse portant sur l'OERS

"'. .,.4.t.. au strale, "ont ,1cUmN du a: etame, Une faHlite de J'O.U:.\". race à eeete 1.t:n1ble tftponS&– blllt<\ qui lui Inco mbe ser un pOlrnard au cœ ur de Atricaln. C'l'!lt pourquoi. me par le pa8sé. · le Sé et Je ~!AII ae feront 'Y> :d d'app_'1"l'O.U.A. ,– œmpttssemeut de M m.fM Mals l'histoire, le J18&sé pres Ugieux d 'un pe uple doivent ré, conder le présent et Indiqu er aux g énératrons la vole à sut – vre . Et le président Léopo ld Sédar Senghor. de dégager les sÇandes lignes de cette scuon à laquelle Sénégala is et Ma– ltons sont conviés : c ComJ11c nous au Sént'gal. " OU5 avea, au )1a11. entreprts d'lnten51rt('r votre a.~rkultllr~ en 13 dtverstïfant, En t ëmot, gnent les projet." concernant le coton le riz. I'arachlde, En témol~é aU5~i la plue qut" ,"ol1~ .. entt·ndel: donn~r. dan8 vo trf' économie, aux culture~ ma.– ra îchère s, au taba.c. à la canne à ~ucre. Auparavan t, dans un e f I tton très applaudie, le colo M· Moussa Traor é, ~'t5tait I\d:-t:>s s é à son hôte. en ces te rmes c l'our le peuple malJen, ir.. réç erstblf'me-nt ~ nga.gé ~ ' ,5·'130 lut te pour 1;L rh.lt5&tio ~ ]~~i nUé africalne. '\"0 on seultment 1110 r~ qu i fait hnn de J'homme noJr,~: ltadV m~ lor~ que notre bot uI. aimé rt respec:tli d'un pa ys fi Ume et no~ objf'(~tlf!rt sont corn. .. re~ rr.ab êt"al~Jnent Je -comb) mun.'\. et qu 'au ~urplu5, nous ' tant .lntrépide- q i- . scmlm es dC'\ ,'olslns et des pa.. relâene contre la. i{"'" rents nord~~wud3nJen.!l. notre - de notre conUnen _~ ..• J devoir em'~rs nos peup)eg pst -- de nous concerter po ur 1nt6. Voas en ave é ··lu grer toujours d&\-antage no s méfa.t~ lans ména.g:e n, au.· l'conomfes.. Ce qui est un de5 cun . Vou~ a\'e"Z ft < en1 buts derns. viRJte au MaIL Il l'un des premier~ che t i ' Ii'agira aussi qu~. d'ab.ord 81"eC \ a,'ofr exposé. t&t:ec'" tous le.~ r:h-'eraln., du neuve et lucJdHé, I~ d&Î1rer (iue : Sénégal Qui le dé,~lrent, mal~ présente, pour 1t'.!J paY8 en au ssi avec les autre..1 Etats de dé,-eloppt'ment , la dét ouest.ah1cains. nous me nions ration detii term~~ de l'écb.. ('n~emble un combat plu~ ~ner. Homme de dialogue. l:(lU~ ~que contre la- déVrloration touJ ouu. préc:onbl- la::n~g, drs tcnnt"8 de l'échange. tlon pour If' rl"gle!,!l_eJ;1:t 2!~; . au Koulouba te rrltolre éte ndu, une arm ée dlaelplfn êe, un. admllÙllt ra – tlon Imaglna nte. MaIs tOUR CC! f'lément!' n'{o. talent que les moyens de celte cJ"UbatJon nord • seudanlen– ne Que j'al sauvent exaltée : féodale et po lle, I,.vrIqu. et artfste, eomme rçanto et Indu !II trtelle. Cette ch11hatlon que j'al rl',.umée alo.'\l : c le che– val et le tu5JJ. la tomme r , 13 KO..,., la noix de kola ' . Intégrons nos économies C'f'f't DOn sa ns r&150n Que J'ai fait c.e rapide sunol de 11llstolre de l"otre pa.ys. C'("~t sumut pour di re que l'Inl("r~ mMe ("olonl.1 ne pouvait en rien déraciner le MaU d(" !'f"S valeurs prop~. Vous le f'a. vez, au Sénégal. l'un de no~ objectfh m3jeu~ est de fatre émerrer 1~ val eurs du pao;;~é que le n'(lme eoJonial a lon~. temps r eIéea. Lot, Africains ~e~ ront des oonv1\-es complexb sJ ush aut our de la table de la modernité, H~ n'appprlent PM. 8" te eux, des "aleurs ~fires. L~!Ii fe_MODr<:.e5 négro.. afrJca.fnes 80nt immen!'cs, qui floTront par ~'JmJXJser A la c:on8Clence du monde ». !limes Senghor et Traoré (M [nnette s sombres) a.u b alcon du Palal~ présid en tiel de K oulouha. An tond, on averçolt '," le Niger et le grand pont qui l'enj.. mbe, et même au nouveau quartier de Bad.. labougou. Au :\.~Ve !dèclf', c'es t A Ga o. capitale des Sonrhat que Ile troul"cra la plus grande puts· sance m1l1Wre que l'Afrique occidentale ait connue. E.t-Il be&oln d'évoquer 1... royaumes bambal'at' de Sécou et du Kaarta, Je royaUnle peul du Macina, les Empires d'El Hadj Oumar et de Samory ? Oui , pour dJre qt1'11~ av.lent déjà n'un! les éléments d'un Etat moderne : nne population lab<J"t"ou. un C'était au II I. siècle ava nt Jé sus.OlTist. Le mereetlleua pays Dogon marquaU 8& pré, sence au seln de l'Empire du Ghana, qui était à son apo– té e au XIe stëcte, quand les Alm oTa\1del' . 'tmparènnt de s.a capitale. Pula ce fût l'EmpIre dn 310– Il. Votre pays l'y dJstlngua. C'était normal. Cet Empire mandingue, quJ s'étendait aux terrttotres rtveralns du neuve Sén~rcal. connut "ts heur es de gloire ~OU!IJ le règne do So un· dJata Keita. Il brilla. de fion éclat le p JU!IJ ,if so us Kankan )louss R.. La m~moJre de l'un comme de l'autre fera tou.. jo un namber nO!IJ Imagina,.. tl ons . tainnt lmrgir dt-s ima– ges rutJ1antetl du ton d de nO I m~molrc!o. « En acc eptant , disait-ell.., "in. BAMAKO - Radio-Ma li, dans son éditorial du mercredi 1er dé– cembre avait donné le ron, Mai~ Burtout, c'nt parce qu'Il s'agit du ~Iall, vieille ter. re J1nulne au pass6 rlorleux. André lIIalra us dl..lt : .Ilhon neur d'un pays, c'e~t Ce qu 'U olIm à l'étranKe.... Le ~I.U • beau coup offert à l·extérleur. d'abord aux pt:uples frères d'A trique, notamment daJl.li 1t'8 domalnu de 1'h15tolre et de la culture. , E;.<t-tl besoin d'ajout9T que ie comit é milttaire de libéra– ;io:1, le ROUye:-nement. les ca– dres et le~ élites Intellee tuel1es et ouvrières, le peuple malien. dans son ensemble. ont suivt ? Sur près de 12 km. ent re l'aé– ropo rt international de Bama– ko, et la colline bots éo de Koulouba. ancien doma1n e des ~ou\"erne"J:-s de la eotontsatton a... ant d'incarner. en ta.nt que :si~ge- du gouvernement . le sym bole vivan t d~ ~an .. moderne, :nd(:penda nt et souverain. plus de cent mille Maliens ont ré– serv é au pré sident Léopold Sé car Senghor un accue ü dé!.:. rant et enthoœ~iaste. Enfants des koles, tTOU'P~S tolkloriques, hommes, femmes dans leurs plus beaux atours, ij."aient voul u fa!re de ce 'eu... 11 ~ décembre m' jour exce:>– tlonnel et ils y ont réussi. • C'est tonjoun arec une grande joIe et un. lé(lUme lIert6 d'Africain que j. me ~troûve au 1\o1all. Les raban, en tont muIUples. La premlère. c'est que la RépubllQue du lIIa1l m'est très lamlllère. Réception grandiose L! colonel ~ou~5a Traord, oher du comlté mU tal re <le II· bëratton. dont la jeunesse, le dynamism e, 19. modestie 0x:~ (&fiement eon trfbué h ass eorr :it. !Û'o.,:,.-u:... éc, :. :=-.!.s t~'.:: en ,~yvre. peur que raccue ü dû par le ~lall, à son ainé le président Senghor, tût à la me sure de la. dimension et de t'envergure Internatlonales de t'homme. Le pro gramme, qui prëv.,. ya:it un voyage à Ség ou , ayant ére modlllé, c'est le Jeudi 2 'dkembre donc qu 'a eu Ileu, toujours b. Koulouba. la récep– tion donnée pa r le gouverne.. ment n.süen en l'honneur de iear 1Uustre hôte. Récepüo n grandiose, dans un décor qut restitu e les i:raD deurs du fa bu.leux p&SS~ sou– nena's qut va de l'em pire du Gr..ana: à I'empire du ~:te.ll_ L'occasion était bonn e pour le président - poète. chantre dac; valeurs de civilisation du monde nofr, slnguhërement du monde soudAno-&ahéllen, de fe.1!'8 rerlvre. 0.'1 des fresques lyriques, le presl.lge passé du ~1.1l : Jrp~'sfëfe n t ~ ' LéopO l d Senqnor ; A la réception de ~e Chef de l'ftat:'' enons a ec es riverains ~énégal qui le désirent un combat p us én lique contre la détérioration des termes de l'échang (d e notre envoyé spécial Bara Diouf) S· li • {2. -'1-1 vitati on de son frè re, le colonel mém e civilisation et déte rminé dent Senghor, hon ore le M Mou ssa Traoré à se ren dre au 1 à lutter pour réa liser le mê me \ son peuple : il honore. Mali qu i forme avec 1.. Sénégal idéal, l'Homme d'Etat, le poète, men t l'Afriqu e à l'i ntérét .. un seul pays, un en sembl e un i· le porte-drapeau des défens eurs gra ndeur de laqu elle , il s'est qu e, pét ri et modelé par une des valeurs a fri cai nes, le Prési· tière ment consacré Il.

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