Articles de presse portant sur l'OERS
"ilon "$' Bamako" .... ;. , a 6puyerqe~~m:t "Aucune" J-- J• ._ :.11 " "Ti T,~ prise . 0'", 1 f)~èlQrQ~ioh ,o. E. R. S} , . "" n avait ete A la suite du 'léjour qUel ques heures mercredi de M' Moktar Ould Daddah, à Da– kar, lé gouvernement a ren– du publique samedi la dé– claration suivante. c Le président Moktar Ould Daddah, président en exercice de l'OEliS s'est rendu à Dakar, le 31 mars, pour soumettre au chef de l'Etat sénégalais, ainsi qu'tl en a été convenu à Nouaj; chott, ' leS propositions éia- . borées par le conseH des ministres ' des affaires étran gêres réunï.en session ex-« tr%ord!nalre , à Nouakchott. le W,fêvrler 1971 c Le president Moctar OuldDaddah, président en exercice de l'OER8, a en– trepr1s la même o ëma-cne aupr.'ès: - du lieutenant Moussa Traoré, président du cou– seil mllitaire 'de ubératlon nationale du Mali, 4.<t de M– Ie président Ahmed Sélou Touré. président de la RE'– publlque de Guinée. c A l'issue de la visite que le , présIdent Moctar Ould Daddah a effectuée à Conakry, les 31 mars et 1er avril 1971, le gouvernement guinéen, dans un commuut qué dlffusé par c la Voix de ,lS révolution ., <l préct– se que les entretiens ont -porté sur les travaux de la dernière, conférence r1cs mi nistres des affaires étrange res de l'OERS, et sur 1'1IP pücatton des propositions élat>orées à Nouakchott ~. Le communiqué guinéen ajoute qUe le gouvernemens sénégalais a 'c vtoté délibé– rément et untlatéralsment les décfstons de la couïéren . Ce extraordinaire des mmis tres de l''olilRS .. , Le gCl,Ù ernement du Sé– nég~. _ ' e .' qu'il doit être préc ' . que le conseil des mi ' tr es de l'OERS réUD1 en session ëxtraordinaire, le 19 février ' 1971, n'a pas arrêté ds décision.· Le document publtë . aux termes " de~ , travaux du con– seil des ministres est i en .et 'fet , unedéchlration. « Les ~dél~g~tiODS des quatres E- tats ont déclaré, qu'elles se sont efforcées de dégager, en fonction de Ieurs réali– tés. un ensemble oe rnesu– res susceptibles de renfor cer tes rapports d'entente de coopération, et de son dartté extstants au sein de l'OERS. Et toutes les mesures, ain si élaborées constitueraient des proposiuons que le pré sident en exercice devait soumettre aux chefs d'Etat du Sénégal, 'de la Ouinée et du Mali. C'est bien le sens des visItes que le président ' Moctar Ould Daddah vient d'effectuer à Dakar, à Cona kry et à Bamako. La délé– gation . du Sénégal n'a pas soumis , à la conférence, il faut le rappeler, les propo– sitions invoquées nans le communiqué diffusé par la c voix de la révolution ,.. « Elle avait pris ta précau tlon de préciser que, pour résoudre les prob tèmss po sés à la conférence, le Séné gal ne pourratt.nue se réfé rer aux dispositions et aux procédures prescrites par . ea législation nationale, poursuit encore la déclara– tion. « C'est dans cet esprrt que le gouvernement du Sé nègal a pris après la confé rence de Nouakchott, un dé cret pour étendre les dis– positions du Code Pénal re tanves aux crimes et aux délits contre la sûreté de l'Etat sénégalais, aux actes qui seraient (riésorma1.'l), commis contre les Etats ou puissances alliés ou amis du Sénégal. c Le gouverne ment du Sénégal, qU1 en– tend rester fidèle à la con ventron générale de coopë– ration en , matière ùe Justt ce conclue entre la Républ1 qus de Guinée et la Bépu– bliqUe du Sénégal, et à la convention générale de 'lO– UA sur les réfugiés politi– ques, s'en remet Il l'orga– nisation des Etats riverains du Sénégal, dont le prési– dent en exercice n'Ignore– rien de la "na ture des pro– jet formulés Il Nouakchott _ ,e t de la POsi~~ot1-1f,-;-\ gatton sénégalaise ., con– clut enfin la déclaration du Ould Daddan, le 31 mars, gouvernement (APS)
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