Articles de presse marquant la création de l'OMVS

stanc dont rite Nige au x gion serv; Bi SOI etc., priv vou- L de 1 elle. malis d'urs · A en mat en tan pour u inter-al II a le sym] essentir la COOl mique. propos tion d, du COl un co sur pit tâche associa op érai Le eider trava t pour merrsl les di p.ris p sium. du dévelop Afrique. c doit assum développen cadns », a-t Dl POU DI IN Ce fut 1 vaux d u li tre jours trente-qua UA et de: CED, de <FMI, de symposiur communie mité des de la née voir le co vue d'ac économiq permettra pendance trialisés ' à cet obj 'lysé dif l'expansi. cain et a sibles qu - La tien pa r tries-clés - .La du stries, cations 1 que afri par ticip, men t d, nales ; -1:.< formatir - J" niers et ad mirai: le corn - L Ga de symposium sur le .-. - inter-africain qu'aux coffres-forts en passant par les multiples .objets de bureau. coupe-papier, ete: Le métal provient de douilles de cartouches usagées vendues à prix d'or. de vieilles-bat – teries de voiture dont on extrait une matière servant à la confection des man ches de sabres spéciau x d'où la boutade du gouvern eur Condé Pe– raphrasant Lavoi-sier « dans l'Adrar rien ne sc perd. tout se récupère ». Le stand qui a particuli èrement retenu l'attention c'est la « rési– dence» d'été des Songhaï entière– ment confectionnée par les femme s, c'est la dot que toute épo use se doit d'a pporter avec elle, une case, Tuais rien de commun avec la hutte . (SuIte de la page . 3, ~ieure' combi~aison des mesures ·tech.– niques de productivité, de commer– cialisation et d'organisation. POUR LA · DECOL ONISATION DU COMMERCE AFRICAIN Auparavant, M. Diallc Telli, se- crétaire général de l'OUA, avait pris la parole pour souligner que la plus importante action de l'OUA au moment OÙ se tient la première Foire panafricaine de l'Afr ique doit être 'la décolonisation du commerce inter-africain, Ch acun, a-t-il ajouté, doit s'attacher à cette réussite. Le Secrétaire général a également dit que si jusqu'ici-l'Afrique n'est pa s parvenue à un taux d'échange inter– africain satisfaisant, il n'en demeure 1 pas moins que le progrès dans ce sens devra être trouvé pa r le 5yrn– posium. «Trouver une solution au sous-développement, a -t-il dit, ne pourrait se conc evoir qu'av ec les efforts .conjugués de tous Jes res– ponsables africains ». ·M . T elli qui a vivement attaqué le colonialisme. a dit qu'il est res– ponsable de cette situation qui fait que les Africains se conn aissent moins. 11 a indiqu é que cette situa– tion a été une fois de plus cons– tatée par la réunion de la CNV OED. Et M. Telli d'ajouter, il est malheureux de constater que même le "trcisième. ONUCED qui doit avoir lieu au Oh.iJi ne changera rien à cet esprit. . Le Secrétaire général de l'OUA a précisé que la foire et d'autres réu nions du genre sont seu– les capables de con tribuer à une amorce de solution au développe- ment du commerce in ter-af ricai n. Il a d'autre part demandé la mise sur pied. d' une comm ission qui se pen – chera sur les problèmes qui frei– n~nt le développement du com– merce inter -africain et qui fera en conséquenc e des propositions au ConseiJ des ministres de l'OUA. Les oppositi ons politiques ne doivent pas nous faire perore de vue les inté– rêts supérieurs de la promotion du comm erce int er-afr icain, a conclu M.TeUi. Ce fut ensuite 1.1. Gardiner, se– cretaire exécu tif de la CEA qui prit la parole pour situer sur le plan de la - statistique1es propo rtions du commerce inter-africain par rapport aux autres continent s. La place oc– cupée par l':Afrique dans les échan– ges; 5,8 p.: cen t du volume de la eégion 'contre ' 17 p: cent en Asie et 23 ·p. cent en Amérique Latine d é- note la-pauvreté des échan ges ent re Africains.' Les Nations Unies, a dit M. Ga rdiner. ont déployé des ef– fort s pour .encou rager la libération des échanges. M. Gardi ner a d'au– tre part pro posé des produits sus– ceptibles de faire l'objet d'échange entre pays afri cains. En conclusion il a dit que la Foi-re de- Nairobi constitue un jalon Foire · Exposition survie de la nouvelle organisation. Les 10.300.000 habitants du terri– toire de l'O MVS le savent bien et y travailleront pou r. B.·B. ./JOUCOURE. Prochain article : Nouakchott, une ville surgie du d ésert, ditions qUÇ: l'on sait, sans engrais spéciaux, dans une zone dévenue hélas synonyme de sécheresse et ·de chaleur ,dédient toute compétition ; il faut croire que c'est là un mys– tère de la nature ; ou alors dans un autre sens une certaine simili– tude entr e cett e immense région (à elle seule plus vaste' que les cinq autres réu nis) et les fru its de-son sol, ce géant rougirait d'enfanter des nain s! H fallait que les' enfants fUlSlSel1llt à Jl~jffia8e da ·-la mè;re.- L'artisanat quant à lui surprend moins, non pas qu'il soit de piètre qualité, mai s pa·rce qu'il a atteint une telle rénommée à travers tout _. _!'<~ ... .... rl..1:?, np Mo Mokear .:Puld Da<ldah prési– dent de la République Islamique de Mauritanie et M. Robert Ti éblé N'Daw, ministre. du ·D6Ycloppement , industriel et des Travaux publics du Mali ont été respectivement nommés pour deux ans président de la Conférence des chef. d'Etat et de gouvernement et président du Conseil des ministre, M. Mohamed Ould Arna r a été, lui, nommé secré– taire général de l'organisation pour trois ans. LE TERRITOIRE DE L'OMVS Les trois Etats membres de 1'0 MVS comptent ensemble une popu· lation de 10.300.000 habitants. Ils couvrent une superficie tota le de 2.433.616 km2 : Ils avaient ensemble en 1970 un budget de 126.470.000.000. de francs maliens. Avec un tel potentiel humain. les espoirs sont permis, Eit l'intematio– nalisetion du fleuve Sénégal sur les territoires- du Mali, de la Maurita– nie et du Sénégal, le fait que tout .Etat riverain peut . adhérer à la Convention et que celle-ci ne peut être dénoncée qu'après. l'expiration d'un délai de dix ans sont .autane de faits qui affirment la volonté des trois Etats de développer une étroite coopération pour permettre I'exploi– tation rationnelle des ressources du fleuve Sénégal. Et avec les présidents Moussa Traoré. Léopold Sédar Senghor et MOI$T Ould Daddah, signataires des documents - analysés .ci-dessus, nous sommes non seulement parti- , sans de TOMVS en tant qu'orga– nisme .de 'coopération inter-Etats, mais nous sommes également enga· gés à leurs' côtés 'pour défendre Ia à '1' O.E.R.S. La .'. ET LE SEX EGAL est l'organe d'exécution de l'orga– nisado n ~. , Pour rendre la nouvelle organi– sation plus souple ,et laisser la porte ouverte à d'autres Etats. il est pré– cisé que «tout Etat riverain du fleuve Sénégal peu t adhérer à l'or– ganisation JI. (Suite de la 1" page) cheurs, élevecrs.. artisa ns,' commer– çant-s et ar tistes notre fierté est lé– gitime face aux résultats concrets acqui s dans tous les domaines, éco– nomique. social et culturel. Persua– dés ,que l'ardeur au tra vail, la per– sévérance et l'esprit de suite dans l'action quotidienne nous ouvriront des perspectives nouveliles vers le progrès ~ unissons nos efforts' dans la croisade de la bataille économi– que pour la réalisation des objec-. tifs prescrits pa'r le OMLN ». C'est ensuite que la délégation conduite par le gouvern eur Condé a commencé la longue -visite des de gouvernem ent pour une période de .trois ans renouvelable ». Le Se– crétaire géné ral est assisté de direc– teurs nommé s par le Conseil des ministres. .: Le Secr étariat général chacun des chefs d'Etait et de gou– vernement. Les organes permanents sont : le Conseil des ministres et le Sécréta– riat général. «" Le Conseil des mi– nistres est l'organe de conception et de contrôle .de l'organisation ». Sa présidence est assurée; comme pour les chefs d'Etat, à tour de rôle et pour deux ans par chacun des Eta ts membres. Quant au Secrétariat général, il « est dirigé par un secrétaire géné– ra'! nom mé pa r les chefs d'Etat et LA ~LAUHI TANIE .•. L'O.M. V.S. ·succède compréhension et la solidarité mu– tuelle entre les Etats membre s de façon à créer un climat en perma – nence propice à la. coopération et au maintien de -celations pacifiques et amicales-entre les Etats »-ne .ré– pondait plus à ces objeotifs pour Jesquels elle a été. cependant créée. .Cela est dû au fait qu'en raison du différend qui oppose la Guinée et Je Sénégal, tous deux membres de l'OERS, la République sœur de ,Guinée a pratiquement cessé depuis am an environ de participer à la marche de l'organisation. Ce difIé– rend, toujours .en suspen s, a égale– ment conduit le Sénégal à démis– sionner de l'OERS. Et le président Senghor devait en octobre dernier confi.nner cette démission à ml de nos 'confrères à qui il accorda une Interview exclusive. Dès 10r$l'OERS mourait à petit feu. Et il fallait trouver une solution quant à l'ex. ,ploitation au bassin du fleuve Sé– négal C'est pourquoi la création d'un nouvel organisme s'imposait. .Pour combler cette lacuoe, l'organi– sation pour la Mise en Valeur du lleuve Sénégal (OMVS) devait voir le jourv-Ee c'est ce qui eut lieu à Nouakchott le II mars 1972. L'er– ticle premier de son statut fixe ses poo : «Promotion et coordi nation des 'études et des travaux de mise en . valeur des ressoruces du bassin du fleuve Sénégal sur 'les territoires nationaux des Etats ,membres de l'organisation ,. Ceteeorgaaisatio» estdonc strie- ,- _ ëement ' économique, dépouillée de toute ambition. politique. Et ses buts la différencient de l'OERS. C'est dire qu'avec l'OMVS, les chefs d'Etat du Malti, de la Màuri– tanie et du Sénégal sont décidés à promouvoir et à intensifier la coopé– ration et les échanges économiques. Ainsi J ils poursuivront en comm un leurs efforts de développement éco– nomique par Yexploitation et la mi– se en - valeur des ressources multi– ples du fleuve Sénéga l dan s un tri– ple but : Développement de lapro– ductlon d'énergie, l'irrigation et la navigation. LES ORGANES DE L'OMVS Comme r a précisé le président Léopold Sédar Senghor dan s son al– locution de clôtu re, l'OMVS com- • • ••- -~~ ~~ ..... ..l.... v nPr _ (Suite de la lU page) lors la survie de l'OERS était mise en C3.UISe. Une seconde résolutio n devait être prise à cet effet. EUe stipule que les trois chefs d'Etat participants décident que 'leurs Etats renoncent défin itivement à leur qualité de membres de l'OERS. Partant, ils ont, dans cette même résolution, constaté en conséquence que l'üIoRS cesse d'exister. Il faut dire ici que le statut de ,J'OERS qui stipule qu'elle a pour objectif essentiel «de favoriser la

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