Articles de presse marquant la création de l'OMVS

Lenuuilire t1ffi h.~ès ~'éL'è\"C il dour..e. L'Agence Il ANI ~ ajou_ .e 'Ille 1,C cuzw:nL..mùu lldlliÜ1U•. II1Jil"h(', t:{)mp(}~e à (IIlJ\j.rüI1 0e.Il<. L;lnqualll– té h{)ffiJUe-S, ,a lU'.oS le f.eUi a·u vll1ll,a– ge en ,ro,nçan4. ÙlC.~ ~renadfti ~Ul­ celldiaJ.r-es. Lorsq.LliC Ile-; fU1fC;:S de 1·01 ure s:;;u,t Uil'rIY.("e~ 'OC le.,– lit'.ux, l-e l'ommàndo s'é, 'il It d-bj:". replié ,Nl Iravcrsa,n,t 10. f'r.()llltji~rt~. dit ,~nl~nl'('- 'l'.-\geficc <l :\:'\J UN VIlLAGE, Dt 6üINEE"8IS~AU INCENDIE JU""ltunc li,Jlûl.~n.l,') de ~.a "OC~T :'1'.é ce SUlUOllJOOO, près de .a l'ronol.ère nord-est d-e la Gu.J1Oc, U'RIL é.é ljUés <J. ua, .suwre d'une a>haqu.e des 8uet~'IJelO" n;llJJlJdl.a_ 1j'SltC.s a WIllMJollcé '!'AgOllCi: P().r:.u_ ga:ise IlANI» qui préülse q'lilC j,'lI:Haq-u-c a cu dieu <1aflliS Ja n.u ~l de \ e<nd.rcd'i à sameu.l ùoer'l'W.e; s. Tout fut mis en œuvre et le 213 novembre 1960, la Mauritanie avait sa capitale, Nouakchott, capable de recevoir ses invités venus des quatre coins du mcndepcur la proclama– tion de la République. Un pari venait d'être gagné. Le miracle était réalisé. Une nature hostile, n'inspirant que répugnance, dégoût 'et découragement, put être maîtrisée, et façonnée .grâce à la fer– me volonté de l'homme. Nouakchott; ville surgie du dé– sert, est le fruit de l'audace et de ta détermination. B,-B. JJOIJCOURE. publics, mauritaniens, donnèrent Il: con. Vilsa du premIer ministre et logements des membres du gouver· nement furent entamés. Qua~e mil– liards de francs maliens furent de– bloqués pour le& premiers, travaux. Le ~3 jwllet 19,9 fut créée une So– ciété anonyme d'économie mixte dénommée Société d'urbanisme et de conserccucn immobilière de Nouakchott SUCIN), Son prèsi– dent-directeur générai était le mi– nistre mauritanien des TP, Et c'est cette société aidée par la. Société centrale immobilière de la Caisse dos dépôts (SCiC) et la Socière centrale pour l'équipement du ter– ritoire (8 CET) qui construira Nouakchott, surgie dû désert une ville Nouakchott; Jcisions sensationnelles .ms un titlfe sur six colonne.~ que «Ile roi Hussein a vendu Jbrusa. lem». selon le journal pro-nasserien, of: D;:main, .l~ roi Hussein proclame- (Suite de lu. 1'" page) .. NtHl1l 11lt1.NlUf:WI\!I notre volonté dt, Iuin- tir notre pêlY~ un territoire mwj~Ll'l' cu tl'a'Il!d'{'1'unt sur notre pro– pre Ivl notre chef-lieu XI. Ct 't.tt ~ déclaration est de M" Mok– tar Ould Daddah. Elle date du 20 mai 1957. L'Idée de transfert du chef-lieu de la Mauritanie qui était jusqu'alors à Saint-Louis du Sénégal étaJt née. Mais beaucoup n'y cro– yu.io (·nrt pas, Les lSCeptiqull~ n'étaient pas l'arcs. Cependant Mt> Moktar Ou/hl Daddah en a fait une ques. lion d'honneur. Il y employait toute l'a volonté. Et le 12 juin 1957, le Conseil des ministres se réunissait pour la première fois à Nouakchott, petit hameau à 7 km de la me~ ap~ pelée jusqu'ici Ksar. La réunion eut lieu sous la tente et le premier mi– nistre M" Moktar Ould Daddah décidak du coup d'être le premier habitant de la capitale. Le 24 juillet 1957 le décret désignant Ncuak– chott comme emplacement de' la fu– ture capitale mauritanienne fut si– gné. Une manche de gagner. ~FIRMER . LI l'IiH.SONNALlTE MAURITANIENNE Le j mars. 1958, M" Moktar Qulô Daddah posait officiellement et so– lennellement la première pierre de Nouakchout, pierre qui serait dans l'actuel immeuble tic la Présidence. Les choses évoluaient donc favora– blement, avec précision. Ainsi, le 2 mai suivant, il exprimait avec force devant le Congrès d'Alcg son idée d'avoir la capitale de la Mauritanie sur le sol mauritanien, une concli– tion d'émergence du pays. of: La pero sonnaûité mauritanienne, disait-il, doit s'affirmer pa'r la réalisation ra– pide de notre capitale à Nouak– chott XI• Déjà, il projetait d'y ouvrir en décembre de la même année la ses– sion budgétaLire de. l'ASISemblée ter__ rÎtoriale. Le plan et le règlement d'urbanisme furent étahlis. Il falllait maintenant trouver les capitaux né– cessaires à la j:onstTuction de la viHc : édifices pùblics et inf.rastru.c__ tur,," générale tels que les rOl~tes, l'cau, l'électricité, le port, l'aéro– port, etc. L'eau posait un problème parti. culier. BUe était insuffisante 1 sur place. Le peu qui y existait était souvent saumâtre. Le petit hameau de Ksar n'en souffrait pourtant pas erop. Ses quelque 500 habitants avaient leur eau à partir de puits de 3 m de profondeur, creusés à l'intérieur des concessions ou dans la rue. Mais il faut dire que la po– pulation augmentait 1 avec l'installa– tion de la capitale. Trois solutions s'offraient ,a:.ux responsables : ~ Dessalement. de l'eau de mer ; ~ Amener l'eau du Sbnbgait par canal ; - L'eau des puits avoisinants. La troisième solution était la plus facile. Une importante nappe fut découverte à 64 km à l'est de Nouakchott. Conduites à poser, fo– rages pour augmenter les possiblités d'approvisionnement à faire" réser– voirs à aménager, tout cela deman– dait du temps. Alors on se conten– tera d'amener l'eau par citernes de Rosso à 214 km. On emmagasinait également l'cau des pluies dans des réserves. Eu plus. du problème crucial de l'cau il- y avait le boisement et la verdure, toutes choses nécessaires à une ville surtout quand il s'agit J'une capitale. Il n'exis-tait à Nouak– chott aucune couverture végétale. seules res dœnes ne sables s 'é.en – daient à perte de vue comme on peut aujourd'hui encore les voir tout autour de la vilde. Le laiteux 0( avcmane » était là tout nauséa– bond. Le paysage, étail pâle et mo– notone. Le problème qui se posait dès lors était de faire immédiate– ment face au boisement et à la création d'espaces verts. Là aussi) pas mal de difficultés : pénurie d'eau pour l'arrosage, le vent déra– cinant les jeunes plants, voracité des bêtes, Cependant, l'homme put mettre en place 4500 plants fore!;· tiers et d'ornement. Il créa 10 péri– mètres de mails (2.700 arbm;) pour les espaces verts qui seI'Viront égale. ment de brise-vents et partant, de ~~~-----""-----'~----'I fi.'\:ateurs d.e dunes. Les résultats ob~ 1 tenus sont visibles. aujourd'hui à Nouakchott, En dehors de l'effet esthétique, le boisement influe sur le climat, supprime les vents de sa– ble. NOU,IKCHOTT EST NE Les travaux proprement dits. dé– butèrent en· fin 1958. Les travaux Le Roi Hussein annoncerait des Le roi Hussein donnera aujour. d'hui une conférence de presse au cours de laqueJJ:le il pourrait an· noncer des ...décisions sensationne~leS» ,dont fai.t état mardi, le jour- ,..,.,,\ 1.;,1.,.",,..,",,;~ ~ 1\1 l..f~h .............. du Mali sera fière alors de son ini– tiative et de' sa mission de satisfaire [a clientèle: Les jeunes liont certes enthousias– .més 'par le «Sahara» comme on peut le constater chaque nu·it ; mais cet eùthousiasme n'atteindra pas 'son p~U'()Xysme avec des· tarifs de consommation hors de la bourse du Tomoouotiell moyen. 'Cheick BOCOUM. Mari~D.) prési~ent Je la Délèganou municipale et commandant (J'.. ~l' mes de la place, l'inspecteur régie– llaldes Impôts il défini pour ItOn auditoire le sens et la portée du Code malien des impôts, les moda .. lités d'ünpcsîtion dans les (ü\,crsci olasses et lès impôts l'élevant de cha– (lue classe. e. Le Code malien de$ impôts, u.~ t-il dit, sc veut juste. Mailt lil j""'ticc dans l'imposition incombe aU!lJi au contribuable qui, IJar une déclara– tion objective de lion rCVCIlU I flOUS permettra de counulu'c sa situation exacte ». Il a aton; invité les cour– ll~erça[~tli' à tenir des registres d'a– chats, de ventes, de dépenses, sans fraude. li a cusuiu- lLLi~ les couuuerçants l'L1 garde coutre les sanctions qu'ils encourreut dans l'inobservation du Code des impôts, puis a répondu aux queseions des auditeurs sur les divers jnrpôts, sur la tenue des re– gistres, des recours de déverse– 11J/'l\t, etc. M. Kauouté a terminé sa con– Ièrcncc en donnant des conseils pra– tiques aux commerçants. L'inspecteur régional a quitté Tombouctou dimanche pour Diré et Goundam. , Clveick BOCOUM. ) . /. \-l, /" ,Âlcede l'inspecteur .des impôts... ours inaugural M. J directeur de l'Hô~ nt sur le râle d'un la vie d'une ville xiété nationale des .fali, a-t...il·dit,· est tre à la disPosition du lundi 6 mars l'inauguration d'un nmé ·le« Sahara» loc [l°2 de. ,l'hôtel– ombouorou·"en pré– ant KoreïOO:i Tal1r, :ercle, du qtpitaine riko, prés:iqent de mnicipale . ;~t· com– s de la pliUfe, Ma– , inspecteur régio. le nombI'Cux·cadres unesse dorée de la Igur~tion d'UR ~tIig,ht·Club ~ .. ,' ., '" .,~, .. ! if' Uli J- paYli Je- con– !a,vec re- ,it 3 leurs j p. exem– ililibit 's aux J. toutes'. sortes .. yer au mieux tUr~ impôts. Mal– agcuts du fisc ont lans leur arc. Met– isychologie et leur leu de leurs clients déceler les frau– le:'> malheureux. cemment. indépen– de cornmerçants ce d'un c9JdP des qui ne. l'iflOrent souvent, pas son Alors le, rôle re- ~s des impôts d'en– mpagncs ù'éduca· c cadre' justetucnt 1 Kanouté, in-pcc– de la sixième ré– te à Tombouctou 1~72. a conférence qu'il :, ('ol1lmr.iÇ3.nt~ 'rI Maison du peuple, u-s ('11 présence du rall, corri~ndant utainc Souléymane

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