OMVS NEWSLETTER L'année des OMVSIENS Décembre 2018

Mohamed Attaher, chef de la Division, Protection de l’Environnement et Suivi-évaluation de la Direction Environnement et Développement Durable « J’ai bien bien vécu l’année même si elle a été très chargée. c a r nous avons mis en œuvre beaucoup d’activités notamment le déplacement de 6 villages sur 4 nouveaux sites. nous avons remis les clés à ces 104 ménages où nous avons pu construire des logements ainsi que des infrastructures collec- tives. bref, c’est une satisfaction. Avec les collègues, c’était convivial. Je travaille avec des experts avec de différents profils. On m’appelle tou- jours doyen. J’ai le respect de tout le monde » Maha Sall, Experte commission Permanente des Eaux et comité de bassin "ca été une année mouvementée à titre personnel. Parce que j’étais nouvelle maman. Il fallait s’adapter suivant les heures de travail, les missions etc. c’était une année compliquée à gérer. Les années précédentes je n’avais pas beaucoup de mis- sions et de formations. Par contre cette année, j’ai vraiment senti une différence. On a changé de rythme en c e qui concerne les missions, les déplacements, les activités et les formations. c’était une année riche en formations. J’en ai 4 alors que j’étais restée 3 ans sans en avoir. J’ai beau- coup appris. ce qui est du boulot. Il y a également le comité de bassin. c’était une année de challenge. Pour la commis- sion permanente des eaux, on est allé comme d’habitude. Y a pas eu e nouvelles choses. Mais on a quand même mis des bases pour aller de l’avant. On a été formé à des outils de planification qu’on va utiliser pour la commission perma- nente des eaux. Une année riche en bagages en espérant que l’année prochaine sera beaucoup plus excitante." Véronique Faye Komaclo, en charge du volet chan- gement climatique au PGIRE 2 « Sur le plan personnel, c’est une année intense. c’est une année charnière pour le PGIRE. Il y a eu énor- mément de missions, beaucoup de ter- rain. cela m’a permis de bien connaitre le bassin, certaines localités, de visiter des sites pour la première fois. Je ne les connaissais pas auparavant pour la plupart. J’ai le sentiment d’avoir ac- compli quelque chose dans le PGIRE. On a plein d’activités qui ont démarré difficilement et sont en train d’être mises en œuvre. J’ai aussi le sentiment d’avoir aidé à mettre en œuvre le PGIRE dans le cadre des changements climatiques». Ahmed Sory Konaté, Directeur de l’administration et des moyens généraux. « 2018 a été une année bonne en moissons, une année au cours de laquelle on a noté beaucoup d’inno- vations et d’actes posés. On a organisé les pre- mières journées Omvs. c’était à l’oc- casion de l’anniversaire de notre organisation. Il y a eu des journées de portes ouvertes pour mieux se connaitre. Il y a eu aussi le team building qui est l’organisation de séminaire interne à l’attention de l’ensemble du personnel. L’objectif, c’était de créer un cadre collaboratif, créer une symbiose à partir de l’orga- nisation de rencontre qui a regroupé tout le monde. ca été un cadre très magnifique. nous avons vraiment apprécié. On s’est dit qu’il fallait chaque année organiser une telle rencontre pour permettre aux uns et les autres de se com- prendre mieux, de créer un esprit d’équipe. Une année satis- faisante pour moi car y a beaucoup de points positifs même si on peut encore mieux faire pour la prochaine année. En un mot, l’année a été positive ». Décembre 2018 nEWSLEttER OMVS 14 L’ancien Premier ministre de Gui- née Kabiné Ko- mara, qui dirigea l ’Organ i sa t i on pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal de 2013 à 2017, vient de publier un livre dédié à la géos- tratégie de l’eau dans le monde. L’Eau, enjeu vital des relations, c’est le titre du livre qui est publié aux Editions du cherche Midi, en France, avec l’aura de deux signatures prestigieuses: le Président de la Répu- blique du Sénégal M. Macky Sall, auteur de la préface, et l’académicien français Erik Orsenna qui a signé la 4ème de couverture. La cérémonie de lancement a eu lieu le 25 avril à Paris. cet important ouvrage de 256 pages répond à la question de savoir : Sans eau, que serions-nous ? Quelle que soit la forme qu’elle prenne, elle se joue des frontières et relie entre eux des cultures, des régions et des pays souvent très différents, devenant ainsi source d’op- portunités, mais aussi objet de nombreuses convoitises. Le lancement en Afrique est prévu à Dakar le 15 janvier 2017, sous le parrainage du Haut-commissaire de l’OMVS M. Hamed Diane Séméga Difficile pour certains, excitante pour d’autre ou tout simplement mouvementée, 2018 livre ses se- crets. Ils sont experts, chauffeur ou directeur. Ils ont partagé avec nous leur année. Regards croisés Parution de L’Eau, enjeu vital des relations internationales, par Kabiné Komara VIE INTERNE

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